Trek attitude, le blog

Trail de l’Aber Wrac’h – Finistère – 6 avril 2008

35 km / 1000m D+ : Yo : 19ème/279 en 3h01
14 km / 350m D+ : Laeti : 2ème féminine ; 38ème/442 en 1h06

Coté Laeti :
Il me tarde de prendre le départ surtout que je viens d’encourager Yo qui s’élançait sur le 35 km et en plus il fait froid… alors je m’échauffe jusqu’au dernier moment et me retrouve sur la ligne de départ. Le départ est rapide surtout que le speaker à annoncé un goulet au bout de 800m et tout le monde veut se placer. Je me retrouve dans le premier groupe et en tête de course (coté féminines), ça ne m’est encore jamais arrivé ! Je stresse un peu, c’est une première pour moi. Mais les sensations sont bonnes, j’ai l’impression de voler entre chacun de mes appuis. Je relance sans problème après chaque cote, chaque virage, je me sers du relief comme d’un atout. Je me sens libre et cette sensation je ne l’ai qu’en course… Mais je ne comprends toujours pas pourquoi je suis devant ! Ouf, la seconde féminine point son nez au bout de 35 min et je n’ose pas l’accrocher de peur de me mettre dans le rouge. Il y a encore du boulot coté mental !!! Je poursuis ma course et veut concrétiser ce podium alors je la garde de visu et continue de relancer sans cesse. J’apprécie toujours autant ce parcours très ludique jusqu’à cette fameuse traversée de rivière avec de l’eau jusqu’aux genoux. Ca me congèle les muscles immédiatement et j’ai beaucoup de mal à relancer ma course derrière celle ci. Heureusement, je sais que l’arrivée est proche et finalement  elle est même plus proche que ce que je pensais… Les derniers mètres sont très émouvants et savoureux. J’ai encore les jambes et je sais que j’ai fait une très bonne course et me voilà montée sur mon premier podium en trail !
Quelle belle course, 13,2 kms, 350mD+ et 1h06 de pur bonheur, une belle place de seconde féminine et un classement au scratch très appréciable (38ème sur 480 partants). Un grand merci aux organisateurs qui nous ont fourni un super buffet breton à l’arrivée avec des crêpes maisons notamment. Et puis un sacré coup de chapeau à mon Yo qui a très bien su gérer son trail et que de fierté de le voir arriver dans les 20 premiers.

Côté Yo :
9h, je suis sur la ligne de départ. Il ne fait pas chaud en ce début avril, même dans le Finistère, réputé pour sa douceur. Et le ciel est menaçant, la grêle pas loin… Raids mis à part, je ne me suis jamais engagé sur une si longue distance. Cela va-t-il me plaire et me convenir ?
C’est une étape, un trail plus long avec plus de dénivelé est déjà prévu en juillet.
Je ne me suis même pas échauffé 10m, j’ai peur d’avoir mal au pied. Hier, je pouvais à peine trottiner, une douleur bizarre à la cheville droite. J’ai mis de l’anti-inflammatoire. J’espère que ça va suffire. Je vais partir doucement. Si ça tient, j’aurais le temps de forcer sur la deuxième moitié de la course !
C’est parti, on n’est pas trop nombreux et le peloton part doucement, je suis donc bien placé sans prendre de risques pour mon pied, dans les 50 premiers. Quelques gouttes tombent, mais l’averse passe au loin : ce seront les seules de la matinée ! Le parcours est agréable, pas trop boueux pour la saison, très peu de bitume, beaucoup de petites côtes sur les flancs de l’Aber Wrac’h. Tout le trail se passe dans cette vallée, 17 km d’un côté pour rejoindre le Pont du Diable, où la vallée se transforme en bras de mer et 18 km de l’autre côté pour revenir jusqu’au Folgoët. Un peu miraculeusement, au fur et à mesure la douleur à mon pied s’estompe, devient une simple gêne et au bout d’une heure, disparaît ! Je vais pouvoir plus me concentrer sur ma course. Je passe en 1h25 au Pont du Diable et sans m’affoler, je commence à remonter quelques concurrents. Je m’alimente un peu quand c’est possible. Je me sens bien mais il reste plus d’une heure de course donc ne donne pas tout encore… J’aimerais bien finir en 3h. Mais les quelques surprises des organisateurs font baisser la moyenne : longer une rivière sous un pont avec une main courante, passages à flanc hors sentiers… L’arrivée se rapproche et alors que j’étais de plus en plus seul, je rattrape du monde. Tandis que je maintiens ma vitesse, les derniers kilomètres sont durs pour beaucoup. Je vais gagner plus de 10 places dans les 20 dernières minutes, pour finir 19ème. Mais la fin de parcours accidentée, avec notamment la rivière à traverser – comme Laeti, m’empêchera de faire sous les 3 heures.
Néanmoins, l’objectif est rempli : j’ai fini, j’ai (trop ?) géré mon effort et le classement est meilleur que je l’espérais. Je peux en faire d’autres, et des plus longs !

Marathon de Paris, 6 avril 2008

Marathon de Paris : Objectifs réussis pour Trek Attitude.com

Greg et Xavier sont passés sous la barre fatidique des trois heures au marathon de Paris. Xavier, en 2h58, avec ses boosters et Salomon de raid, pour sa première participation. Greg en 2h55 (689ème) pour sa quatrième participation avec un rôle de lièvre pendant une partie du parcours. Les conditions météo étaient bonnes et malgré un manque d'entraînement évident, le duo a maintenu un rythme soutenu, tournant à 4 min au kilomètre quasiment jusqu'au 30ème. Jalabert les double à 3 km de l'arrivée seulement. La saison de raid peut commencer !

Championnat de Ligue d’île de France de CO, 30 mars 08

Laeti, championne d’IdF Senior Elite
Yo, champion d’IdF Senior Elite

par Laeti

La forêt qui nous accueille est magnifique, des rochers, du dénivelé et des sous bois propres, une belle forêt typique de Fontainebleau. C’est paisible et pourtant j’ai des difficultés à me détendre. Il faut dire que c’est ma première course en élite et en plus c’est une course qualificative pour le championnat de France. Yo semble beaucoup plus serein, il a davantage d’expérience. Nous partons à 1h15 d’écart autant dire que chacun se prépare dans son coin mais en pensant à la course de l’autre. Lorsque c’est enfin mon tour, je cherche quelques secondes le premier poste, qui est loin, très loin, de l’autre coté de la carte… il faut donc être très concentré dès le début de course. Le parcours enchaîne des postes à postes très proche et des longs postes à postes au milieu des rochers et des collines. Toujours rester concentrée, choisir les bons itinéraires, éviter du dénivelé inutile et le jardinage entre les rochers si nombreux… Je m’applique et au bout d’1h20, j’entends Yo qui m’encourage. Je fonce vers mes avant dernière balise puis la dernière. Lorsque je rentre dans le couloir d’arrivée il me booste une dernière fois, la victoire est au bout… A l’arrivée je signe le premier temps provisoire qui deviendra définitif un peu plus tard. Mais je m’inquiète du résultat de Yo et soulagement et fierté, lui aussi gagne…
Je suis super heureuse et satisfaite de cette entrée dans la cours des « grands » (les élites !). il faudra encore se qualifier sur une autre course pour participer au championnat de France mais maintenant on y croit !!!

Laeti, 8,9 kms, 280m D+, 21 postes, 1h22
Yo, 13,5 kms, 400m D+, 28 postes, 1h37

3 jours du Sud-Ouest, Course d’orientation, Dordogne, du 22 au 24 mars 2008

par Laeti

Samedi : 1ère étape.
Nous attaquons pour une moyenne distance au départ du petit village de Saint-Avit-Seigneur en Dordogne. Le temps est relativement clément lors de notre course alors que nous avons essuyé encore 1/4h avant une grosse averse de grêle ! Ca pourrait être pire, il neige sur la moitié de la France en ce week-end de Pâques… Je me sens bien et j’ai envie de me prouver qu’après 2 mois d’arrêt forcé, je peux retrouver mon niveau. Les sensations de course sont bonnes et je reste hyper concentrée sur mes balises. A l’arrivée je signe le meilleur temps, 1’30 devant la deuxième. Yo, quant à lui prend la 4ème place, avec à la clé de grosses courbatures au mollet : la reprise est violente après 2 semaines à la montagne sans courir… Mais rien n’est joué, n’oublions pas que c’est une course à étapes.

Dimanche, 2ème étape à Campagne.
Je pars consciente que je ne dois pas faire d’erreur et pourtant vers la balise 6 c’est le bug. Je me perds et tout s’accélère dans ma tête, je veux réussir. Je croise Yoan qui me recale très rapidement « Tu as un chemin en bas » et me revoilà dans la course… mais en direction de la balise 7 !!! Je ne m’en rends pas compte et la chute n’en sera que plus grande à l’arrivée. Je suis « PM » (Poste manquant : la 6) donc hors course pour le général. Tous mes espoirs de podium sur ces 3 jours sont anéantis. Yoan de son côté réalise une bonne course et prend la 2ème place de l’étape et surtout la 1ère au général.
L’après-midi, un sprint nous attend dans le village-musée du Bournat, au Bugue, course indépendante des 3 jours. J’ai envie de prendre ma revanche alors que Yoan reste concentré pour le lendemain. Petite consolation, je gagne le circuit Dames, Yoan prend une belle 4ème place derrière William Bouvier, champion de France des Raids d’Orientation.

Lundi, 3ème étape à Cadouin, départ en chasse, dans l’ordre et avec les écarts exacts du classement général.
Yoan part en tête mais avec seulement 11 secondes d’avance sur un orienteur qu’il connaît bien : Olivier Le Guen, licencié à Saint-Brieuc mais qui court en Ile-de-France (à l’O’Castor Olivier avait gagné in extremis). A la 1ère balise, ils sont déjà au coude à coude mais c’est sans compter sur le caractère de « petite teigne » de notre Yo. Il va se concentrer, prendre des risques sur ses choix d’itinéraire et relancer en permanence. Le podium se jouera dans le village de Cadouin sur les 3 dernières balises et Yoan en sortira vainqueur. Il a juste le temps de venir m’annoncer la bonne nouvelle avant que mon bip de départ retentisse. Je suis fière de mon Yoan et décide de m’appliquer sur ma course pour montrer que moi aussi je suis là. Partie presque en dernière position, je rattrape pas mal de filles et signe le 2ème temps de l’étape. Maigre consolation face au podium que je manque !
Yo nous gagne un week-end en hôtel 3 étoiles dans la région que promis nous passerons en amoureux… et moi l’énorme coupe du sprint !!! Mais j’ai retrouvé les jambes après la blessure. Bref, la saison semble bien repartie pour tous les 2 !

Madagui Trophy (Vietnam), 16 mars 2008

2ème place pour Trek Attitude.com au Madagui Trophy, une première au Vietnam
Grégoire associé à Laurent Thomas
www.vietadventure.vn
(par Greg)

La brume se lève à peine sur la rivière lorsque le départ est donné à 6 heures pour 80 raideurs vietnamiens d’adoption ou de passage, réunis par équipe de deux à 150 km d’Ho Chi Minh Ville pour affronter la jungle vietnamienne. Les premiers coureurs enfourchent les VTT, le départ est rapide et nous collons au groupe de tête, jusqu’au début de la section course qui se déroule dans une jungle luxuriante. Je retrouve la saveur humide de l’Asie et à notre aise, nous prenons la tête de la course au moment de reprendre les vélos. Démarre alors une longue section de VTT avec des pentes raides et des descentes glissantes en forêt. Quelques chutes au passage, mais nous retrouvons le goût de la découverte, agrémenté de quelques passages de rivières à traverser à pied ou à la nage. Au bout de quatre heures d’effort, nous regagnons le check point de fin de section vélo. Mais Laurent commence à avoir des crampes, assez légitime pour une première en raid ! C’est une équipe mixte anglaise qui nous rejoint sur cette fin de parcours et plus fraiche, nous double sur la section course à pied avant de se jeter dans l’eau pour une section de nage. Ils sont 20 m devant nous mais l’écart ne se modifiera pas. Tant pis, le paysage nous ravit et l’expérience est unique. Il nous reste deux kilomètres pour rejoindre en courant l’arrivée jugée sur un pont suspendu au-dessus de cette rivière réveillée.

Semi-marathon de Paris, 2 avril 2008

Tanguy : 1h35

Encore 20 s de grapillé par rapport à l'an dernier... malgré un temps humide et un bon mal de bide. Une course toujours aussi plaisante, avec des allées larges qui font que malgré le nombre, on ne se marche pas trop dessus.

A noter que j'utilisais pour la première fois les Booster BV Sport. Toujours difficile de juger de la différence, mais il est vrai que je n'ai pas eu de douleurs musculaires et que ma récupération a été rapide.

Test sac Dayhiker, Ortovox

Par Sylvie, randonneuse loisir

Pour participer à un week-end de ski de randonnée, je recherchais à sac à dos équipé notamment de sangles permettant le portage des skis. Mon choix s’est porté sur le sac à dos Dayhiker d’Ortovox. J’ai tout de suite été enthousiasmée par les qualités de ce sac. Tout à fait confortable, il est pratique, permet un rangement facile du matériel et possède un système de portage efficace. Ce sac à dos est multi-usage, il s’adapte à vos besoins que ce soit pour des randonnées en montagne ou des randonnées plus classiques. Il est de plus d’un très bon rapport qualité prix, ce qui ne gâche rien.

Article Journal des Grandes Ecoles

Saintélyon, le 02 décembre 2007

Le type d’expérience qu’on court une fois pour voir. Mais je n’y reviendrai pas ! 8200 coureurs s’élancent pourtant à minuit de Saint-Etienne pour affronter le chemin retour du trajet qui aura coûté 10 euros et seulement 45 min en train ! Le trajet descendant va durer toute la nuit sur une épreuve de 69 km qui nous conduit à Lyon avec près de 1300 m de dénivelée montante pour 1700 en descente. Heureusement, il ne pleut plus, mais trop de descente pour moi, trop de chemins sur lesquels mes tendons fatigués crient à la fin de saison. Paradoxalement, c’est sur le bitume que je suis plus à l’aise. Mauvais choix d’équipement (running) et un corps un peu épuisé auront raison de ma motivation sur cette course.

Si le départ est rapide et excitant, dès le ravito du 15ème, je sens que la course sera longue, très longue…arrivée 54 km indique le panneau ! Défaillances qui se concluent une fois sur une glissade dans la boue. Non, le cœur n’y est pas. Pourtant mon déguisement en père Noël, celui de Pascal (Lillaz) en vahiné avec des guirlandes rouges permettent de le raviver un peu et de recevoir des soutiens marqués. Finalement, avec des œillères, nous arrivons sur Lyon. Notre foulée s’allonge comme si la perspective d’arriver nous galvanisait. Le rythme final est rapide et nous retrouvons le sourire pour franchir la ligne après 6h50 de course, loin des vainqueurs, mais à une 200ème place honorable et premiers déguisés. A faire oui, à refaire, non ! 

Raid Valmo’tivée – 13 octobre 07

Résultats : 1ère féminine et 8ème au scratch pour Laeti et Val (Trek Attitude Girls)
                  3ème scratch pour Yo et Juju (Trek Attitude Boys)

Côté filles, par Laeti :
Campus de Villeneuve d’Ascq, samedi, 14h30, sous un grand soleil, le départ est lancé pour un prologue sous forme d’Orient’show. Epreuve très rapide et ludique même si cela va mal démarrer pour nous, Val est un peu déboussolée !
Pour la suite nous avons le choix entre plusieurs épreuves, toutes en orientation et sous forme de course au score. Nous partons sur un suivi d’itinéraire et une CO à pied dans un parc de la ville. Nous démarrons prudemment et j’essaie de me concentrer tout de suite sur les cartes. Et ça marche… De retour au parc à vélos, nous partons sur le suivi d’itinéraire en VTT. C’est une première pour moi, je n’avais encore jamais fait d’orientation à VTT. J’y prends goût et je me fais plaisir sur les traces de Paris-Roubaix. Les portions sur pavés se passent très bien avec mon Lapierre. Nous arrivons sur une première VTT’O où nous prenons toutes les balises sans embûches. Val me pousse un peu de temps en temps, elle a de sacrés jambes ! A nouveau sur le suivi d’itinéraire nous ne nous arrêtons pas pour la deuxième VTT’O et allons directement  au départ de la CO à Gruson. 30 minutes max pour aller chercher les 10 balises du parcours, en 24 min nous serons de retour signant le 4ème temps de l’épreuve et repartirons à VTT. Encore quelques balises prises sur le parcours et nous rejoignons le parc à vélo vers 18h30. Nous finissons cette première partie par le run and bike mais je cafouille un peu en reportant les azimuts distance… En plus c’est une CO sur photo aérienne et je ne suis pas très à l’aise avec cet exercice. Il faut à tout prix rentrer avant 19h, sous peine d’écoper de pénalités. Mais nous trouverons tout de même 9 des 14 balises du parcours, nous classant à nouveau 4ème de l’épreuve.
A la fin de cette première partie nous ne savons pas où nous nous situons dans le classement mais de toute façon, le temps presse dans ½ heure c’est le départ de la CO de nuit. 26 balises à faire en mois de 1h30 et nous partons avec 4’36 de pénalité dues à l’Orient’show hasardeux. Dès le départ nous rattrapons de nombreuses équipes et nous bouclerons cette CO en moins de 58 minutes, nous classant 6ème de l’épreuve malgré le handicap. Nous sommes super contentes de ce que nous avons fait et profitons d’un super buffet devant le match de ½ finale de coupe du monde de rugby en attendant les résultats.
Une belle première place et surtout un très bon classement au général vient clôturer cette belle journée. L’organisation était au top et le raid vraiment sympa et ludique. J’ai adoré faire ce raid en féminine et prévoit déjà d’en refaire d’autres sur le même format. Je me suis éclatée et c’est sur l’année prochaine, j’y retourne !

Côté garçons, par Yoan :
De notre côté,  nous ont fait un très bon raid, prudent et appliqué ! Partis à pied également pour la CO après un Orient’show moyen (surtout pour moi), nous rattrapons quelques équipes et revenons au parc à vélos en 1er . Le VTT s’annonce long : pas d’affolement, il s’agit de ne pas oublier des balises en route. La première VTT’O se passe bien malgré quelques imprécisions.
Puis direction la deuxième VTT’O, plus difficile : 12 km de pavés tout autour du mythique Carrefour de l’Arbre, fréquent juge de paix de Paris - Roubaix. L’endroit, désert, contraste avec mes précédentes venues ! Sans les milliers de supporters belges, nous pouvons ainsi rouler sur le bas-côté, plus facile que de tenir le haut du pavé ! Nous y passons un certain temps puis rejoignons Gruson. Après tout ce VTT, il me faut quasiment toute la CO pour me dégourdir les jambes… on revient en 21 minutes, avec 9 balises sur 10. Remontés sur les vélos, on attaque la dernière VTT’O. On laisse 2 balises et on rejoint le campus pour ne pas rentrer hors-délais. Il nous reste plus d’1/4 h donc on décide de faire quelques balises de Run & Bike, sur photo aérienne, une première pour nous ! On effectue les azimuts-distances à la volée, sans crayon ni boussole et ça marche ! On ramène 7 balises, qui nous mettent sans le savoir le podium.
30 minutes de pause et on enchaîne sur la CO de nuit :  super sympa dans le campus mais à peine plus difficile que de jour avec les lampadaires et les « phares » que nous ont prêté Fabrice et Isabelle ! On revient en moins de 49 minutes avec toutes les balises, comme quasiment toutes les équipes. Le classement ne bouge pas, nous sommes agréablement surpris d’être 3èmes. Classement serré : 3 balises d’écart seulement sur 120 entre les 4 premières équipes !